vivarais a écrit :
Il n'y pas de réponse globale. Et si il y en a de trop le sentimentalisme n'a pas sa place, de toute façon a la chasse on leurs tire dessus, il fut l'assumer.
Ceci dit il faut gérer en fonction de chaque territoire, de la densité restante, et des risques de dégât.
Par contre très important c'est de décider a l'échelle minimum du massif, et non pas de l'ACCA comme c'est malheureusement souvent le cas. Dans des coins ou tu a déjà plusieurs équipe par commune qui se marche dessus c'est clair qu'on peu rien faire d'intelligent. Sans dire de chasser ensemble il faudrait déjà être capable de gérer ensemble.
Le fond du problème est exactement là. Il n'y a aucune gestion à l'échelle du domaine vital du sanglier. En Isère, on a des UG avec un comité local qui devrait proposer une gestion globale. Malheureusement, chacun fait comme il veut. Une ACCA continue la chasse, l'autre la stoppe. Le must, c'est qu'on peut avoir une ACCA classée en point noir et celle d'à côte ne l'est pas. C'est débile qui plus est que le classement intervient à posteriori. Les dégâts à l'année N-1, on put être commis par des animaux qui n'existent plus.
Tu entends dire, on a vu 20 sangliers ensemble, il faut chasser puis le lendemain, ils sont vus ailleurs. Tout de suite, il y a 40 sangliers. Sauf que lorsque tu te promènes dans les bois, il y a tout de suite moins d'animaux. Pour constater cela, il faut sortir le cul de son 4X4 et arpenter les bois.
Perso, j'aime la chasse du sanglier et sans vouloir des sangliers dans chaque buisson, j'apprécie de trouver des traces régulièrement pour faire chasser les chiens. Malheureusement, la plupart des chasseurs, ils s'en branlent car ils n'ont pas de chiens au chenil et si l'année d'après, c'est vache maigre, ils s'en tamponnent.