c'est un bon sujet, pour moi, quand je me retrouve seul aux culs des chiens il se passe quelque chose que je retrouve que quand il faut servir un sanglier. Ce sentiment de ne plus être humain, ou la logique et la concsience ne répondent plus, seul l'instinct me dirige, et l'on devient un élement de la meute parmi les autres.
Ces moments là sont rares mais quel pied, aprés c'est pas toujours là que l'on prend les bonnes décisions ou que l'on est le plus intelligent mais tant pis
Bien d accord sauf que je pense qu un meneur doit justement faire preuve de logique et pour moi penser sanglier si les chiens sont en défauts se dire si j etait lui je serais allé où j aurais fait quoi ? Et essayer de ne pas induire la meute en erreur c est là le plus complexe pour moi! Mais un ami m a beaucoup inspiré ,comme sur un défaut de ne jamais faire avancer les chiens trop vite ,les laisser prendre l initiative puis de faire un cercle autour du defaut et de l agrandir si toujours pas retrouvé le pied mais bien sûr souvent c est sur des pieds difficiles du moins rendus difficiles par le climat et la saison ou les intempéries où les imprévus comme un agriculteur qui a labouré pendant la matinée

ou épandu du fumier

un troupeau de vaches ou de moutons voilà j aimerais bien que vous racontiez vos difficultés et comment vous les avez surmonté ou qu est ce qui selon vous est insurmontable!

J'ai tendance comme toi à vouloir tirer les chiens dans telles ou telles direction lors d' un défaut, mais plus ça va plus je pense que l'n est trop présseé et qu'il vaut mieux attendre un peu plus et laissé faire les chiens.
Et comme dit Gascon 23, c'est par chez nous que je trouve que les rapproché sont les plus longs et plus dur en générale, par contre nous on léve pas 90% temps, on est loin de ce score