olive deca a écrit :
salut
alors tu veux pas nous faire un petit compte rendu de cette chasse...
C'était une matinée de fin octobre je crois... j'atais invité en Tarantaise par des chasseurs de coqs de bruyère. Le soleil radieux (c'est rien de le dire) a rapidement chauffé le sol très rocheux... Le paysage était grandiose et j'en prenais plein les yeux. Heureusement car si les chiens se récriaient ça et là sur des voies de la nuit, au bout de trois heures de quête, impossible de trouver la moindre "retirée" de blanchot exploitable... La voie était exécrable. Vers 11H30, nous étions vers 2300 ou 2400 mètres d'altitude et nous décidons de redescendre pour inversé les rôle, les collèges allaient sortir leurs chiens d'arrêt pour que je puisse me régaler à les regardé travailler sur le coq de bruyère.
Il est midi et quart à peut près, nous sommes sur le chemin du retour, il faisait très chaud, Dolomite, ma chienne la plus froide se récrie... 20 seconde après, le lancer éclate. Les chiens perdent de l'altitude puis remontent au lancé au bout d'un petit quart d'heure, je vois mon petit capucin qui a peu d'avance sur la meute... Je suis persuadé que c'est un blanchot. Je le revoit quelques minutes plus tard et mon blanchot est en fait un levraut de lièvre commun d'environ 2 kg... Je l'ai lancé à plus de 2000 mètres d'altitude.
La chasse s'arrêtera environ 10 minutes après, les chiens perdent le lièvre sur un chemin de pierre.
tu vois... pas grand chose donc à raconter au niveau de la qualité de la chasse. En revanche, il restera de cette journée, des paysages superbes et la confirmation qu'il est toujours bon de vérifier les certitudes.