vivarais a écrit :
:
Encore une journée a méditer sur la finesse de nez.
Aujourd'hui la voie est extra, on encapent au bois un vieux trafic de nuit... et c'est partis pour emmener ça et déméller quant ils ont grattés de partout. Balancer dans les terres, les meilleurs chiens trouvent la sortie et tous montent, ça bute a la route, recule, remonte plus haut toujours avec les meilleurs chiens qui percent (les autres en carafe) et recule encore pour sauter aux poteaux. On est plus chez nous ça avance toujours... je fait recoller ceux qui était en carafe. Sauf ma vielle Ficelle, pas très fine de nez mais extrêmement réaliste. Elle était restée a la route, et se mets a la descendre, un peu perdue qu'elle est...
Je m'en occupe pas, et suis les autres qui continuent a rapprocher chez les voisins, pour finalement les reprendre 1,5 km plus loin alors qu'ils n'ont toujours pas lancer
Pendants ce temps je contrôlais au Garmin ce que faisait Ficelle : bien plus bas a la route elle a finalement croisée une bonne voie a la montée et elle est partis lancer chez nous.
Revenant avec le reste de la meute sous le fouet je constate qu'elle a re-sauter la route a la descente en menant plein pot: je lui fait tout rallier et ça y est on chasse
Ce jours la un chien pas très fin, mais expérimenter, a sauver la chasse. Pendants que mes meilleurs perdait leur temps sur un long rapprocher improbable.
Je dit pas qu'il faut pas du nez, souvent c'est grâce a mes fin de nez qu'on y arrive. Mais ce jours la démontre encore une fois que d'autre qualités, dont le réalisme et l'opportunisme, sont aussi primordiale !
Encore une journée a méditer sur la finesse de nez.
Aujourd'hui la voie est extra, on encapent au bois un vieux trafic de nuit... et c'est partis pour emmener ça et déméller quant ils ont grattés de partout. Balancer dans les terres, les meilleurs chiens trouvent la sortie et tous montent, ça bute a la route, recule, remonte plus haut toujours avec les meilleurs chiens qui percent (les autres en carafe) et recule encore pour sauter aux poteaux. On est plus chez nous ça avance toujours... je fait recoller ceux qui était en carafe. Sauf ma vielle Ficelle, pas très fine de nez mais extrêmement réaliste. Elle était restée a la route, et se mets a la descendre, un peu perdue qu'elle est...
Je m'en occupe pas, et suis les autres qui continuent a rapprocher chez les voisins, pour finalement les reprendre 1,5 km plus loin alors qu'ils n'ont toujours pas lancer
Pendants ce temps je contrôlais au Garmin ce que faisait Ficelle : bien plus bas a la route elle a finalement croisée une bonne voie a la montée et elle est partis lancer chez nous.
Revenant avec le reste de la meute sous le fouet je constate qu'elle a re-sauter la route a la descente en menant plein pot: je lui fait tout rallier et ça y est on chasse
Ce jours la un chien pas très fin, mais expérimenter, a sauver la chasse. Pendants que mes meilleurs perdait leur temps sur un long rapprocher improbable.
Je dit pas qu'il faut pas du nez, souvent c'est grâce a mes fin de nez qu'on y arrive. Mais ce jours la démontre encore une fois que d'autre qualités, dont le réalisme et l'opportunisme, sont aussi primordiale !
Finalement si on se fie à ton récit il y a plusieurs lecture
Première lecture les chiens fins de nez ont peur être laissé une voix exploitable pour prendre une voie très compliquée la peut être que l'intelligence joue un rôle ,? Sûrement même
Deuxieme lecture la vieille Ficelle celle en prenant la route a eu simplement un coup de chance pour tomber sur un pied court et lancer ?
Après est ce qu le piqueur ne dois pas savoir couper à un certain moment car il comprend que cette voie n'est pas exploitable ?
Au final difficile de savoir quoi penser de telle situation comme je dirais dans presque toutes les chasses on est jamais sur de rien !
Je vais relater mon expérience d'hier pour une situation quelque peu différente mais qui rejoint cette réflexion
