Chien-Courant.com

Forum de discussion dédié à la chasse aux chiens courants

Avis aux amateurs et passionnés...

Le premier volet d'une étude scientifique FDC25 / FNC / OFB concernant le lièvre en habitats herbagers de moyenne montagne. Il présente les objectifs de l'étude et les moyens mis en oeuvre. Un second volet présentera lui les résultats obtenus, complémentairement à une thèse sur le sujet et un rapport d'étude scientifique : https://www.youtube.com/watch?v=mgikG7tyHgQ&ab_channel=F%C3%A9d%C3%A9rationD%C3%A9partementaledesChasseursduDoubs

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"Avec eux et pour eux"
https://louelison.pagesperso-orange.fr/

Merci Hervé, toujours aussi impliqué

Salut Hervé je vais te faire part de mon expérience sur ce sujet, ce que vous faites dans le Doubs, nous l'avons expérimenté il y a 27ans nous avons été un peu "avangardiste" sans prétention, mais nous introduisions a l'époque énormément de lièvre reproducteurs,toutes provenance ont été expérimenté"lievre d'Europe de l'Est, d'élevage Français et d'élevage dans les sociétés de chasse et les résultats étaient plus que "MEDIOCRE" alors en collaboration avec La Fédération de Chasse du Var nous avons équipé des lièvres avec des colliers éméteurs je te livre le résultat (journal local) depuis nous ne lachons plus aucun lièvre reproducteurs mais nous faisons un suivi de la population par la récupération de cristallins et d'utérus de hase et au vue du résultat on essaye de conseiller les chasseurs de lièvre sur le nombre de prélèvement en rapport du résultat de l'année écoulée et les populations autochtones pour l'instant en moyenne se portent plus tôt bien,je pense que l'introduction de souches différentes n'apporte rien et non seulement perturbe la population implantée et au risque de propager des maladies!!!
Voila mon opinion sur le sujet,sans être pessimiste sur cette étude qui demande beaucoup de travail et d'argent, je précise que ce que nous avons fais sur 2ans,la première année sur des lièvres d'Europe de l'Est et la deuxième année sur des lièvres d'élevage Français avec seulement 10 individus équipés de colliers émetteurs(je n'ai plus en tête le prix d'un collier)mais le résultat a été négatif pour les deux provenances, morts sur la route,chiens errants ou renards,morts de faim!!!! les 10 individus morts ou disparus!!!!!!


Un document de presse(de l'époque) que j'essaye de mettre de façon lisible

bon les deux images sont inversées lire d'abord la 2eme et a la suite la 1ere

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Merci Pierrot. J'avais cela en tête. La technologie a largement évoluée depuis et les colliers de repérage actuels permettent une collecte de données largement plus importante. L'analyse ADN des crottes des lièvres locaux avant lâchés et de celles les années suivantes permettront d'identifier les contributions des survivants à la reproduction à venir. Cette étude va bien plus loin parce que les progrès scientifiques et techniques le permettent à présent.

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Salut Hervé;entièrement d'accord sur l'évolution du matériel qui permet de récolter plus de données et surtout plus pratique, les données arrivent directement "a la maison" mais sur le terrain les lièvres ont toujours les mêmes comportement, a savoir le stress de se retrouver dans un territoire méconnu, le rejet de la population autochtone, la prédation!!!!
J'espère que cette étude apportera "un plus" ce qui serait bénéfique sur le comportement des chasseurs par rapport a la gestion du gibier "né sur le territoire" pour ma part je suis convaincu que c'est la seule condition d'avoir du lièvre sur le territoire,on sait très bien que selon les années, la population de lièvre fluctue "énormément" avec des hauts significatifs et quelque fois des descente "fulgurante" !!!aux chasseurs de s'adapter a cette fluctuation,a moins d'être tombé très très bas le lachés de reproducteurs sont a bannir, d'autant plus que pour avoir participé a la réception et la quarantaine en parquet de lièvres d'Europe de L'Est(soit disant repris sauvage) je peu garantir que ceux que je recevais étaient des lièvres élevés en parquet,parce que un lièvre "sauvage" mis en cage sur du grillage se tue dans la cage,ceux que je remettais en cage ,au sortir de la boite de transport se déplaçaient tranquillement sur le grillage pour aller se réfugier dans la boite de reprise et pour clore le tout les derniers lièvres que j'ai reçu il y a 25ans, 70 individus 35 males 35 femelles a la sortie 70 cadavres,après analyse lièvres infestés de strongylose intestinale et pulmonaire (surement un élevage défectueux)

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C’est vrai que même en essayant de bien les acclimatés, il reste compliqué d’extrapoler les résultats obtenus avec des lièvres d’élevage à une population de lièvres sauvages.

Pas vraiment parce qu'en parallèle nous avons repris des lièvres sauvages sur la même zone, équipés des mêmes colliers et que nous sommes maintenant en mesure de comparer les données, qui sont très proches tant en domaine vital qu'en utilisation de l'espace au cours des saisons, etc...

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Ok. Désolé j’avais mal compris. Espérons que cela nous apporte des solutions pour aider nos populations de petite montagne.

En fait j'avais pas tout expliqué...

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