Rom a écrit :
J'ai connu le lievre fermé pendant des annees sans voir de progression de la population. Je crois qu'une etude menée par des gents passionnés et competents pourra nous aider a mieux comprendre les facteurs permettant d'aider les populations de lievres ou elle n'arrive pas a decoller. Meme si il y a suremet des elements communs avec les etudes precedentes , c'est bien que ces etudes se poursuivent, la technologie evolue et les conditions du haut doubs ne sont pas celle de la champagne, du var, ou de la sologne. Chez moi, l'endroit ou j'aurais parié le plus de reussite pour le lievre voit ses populations stagner, alors que les prelevements y sont casiment nuls par contre la population est tres dynamique dans une toute petite zone a quelques km de là (8 ou 9km) alors que chaque annee 2 ou 3 lievres sont prelevés et la route en tue surement 4 ou 5 .
La Sologne ça fait longtemps qu'il n'y a plus ou très peu de lièvre
Cause toute simple
Plus de ferme plus d élevage le milieu c'est refermer épine mais pour sanglier ronces etc.... En sologne ils ont voulu des chasse sanglier c'est leur choix
Donc en sologne le sanglier et le milieu fermé à fait disparaître le lièvre
Les plus grosses densité de lièvre son dans la Beauce pour rappel la Beauce région agricole culture intensive
Eux il on tout compris bien avant le val de Loire ou vallée du cher
Les premier à compté à décaler l ouverture à ne chassé une fois par ans leur ferme avec très peu de prélèvements
Régulation prédation
Il y a qui vont dire il y a le busard ou autre rapaces après étude non le ils ont pas d impact sur les lièvre.
Si vous passez un jour dans la Beauce après les moisson vous serez surpris du petit gibier vu dans les chaumes faisan lièvre et je vous parle pas des chevreuil
Après je suis comme pierrot ça fait 30 ans que je travaille sur le petit gibier dans mon département et le lâcher n apporte rien
Seul le travail sur le lièvre déjà présent paye
Le biotope
Le prélèvement
Le bon vouloir des locaux
Et surtout le changement de mentalité et vision de la chasse