A mon tour!
Samedi: Après 30 minutes de recherche, EDEN en plein champs prend une voie à fond et donne vraiment bien, le sol sec me permet pas de voir de trace, je suis car la chienne ne déraille normalement plus, j'arrive à une boutasse, le sanglier c'est souillé, c'est bon, je continu, le sanglier rentre dans un vallon assez sale, du coup je fais un grand tour voir si ça sort quelques parts. Plus loin le long du grillage à mouton, la chienne ne pose plus le nez au sol, elle ne donne plus mais tire à fond sur la laisse, je ne sais pas ce qu'elle fait, si elle suit un renard qui s'est débiné ou autre, mais elle est vraiment agacé, elle se jette dans tous les sens, je suis sur 1 km quand soudain le long d'un chemin, je vois les branches bougés et craqué au loin, pensant à un chevreuil je m'avance pour voir l'animal.
Un sanglier de 60 ou 70 kg je pense se lève au bord du chemin, la chienne se met à gueuler, je me sauve vite.
En essayant de le recouper, je retrouve un autre bande qui s'en va sur la chasse privée. Le sanglier dérangé fera de même un peu plus loin.
Quelques kilomètres plus loin, je retrouve une autre bande qui a visité un maïs, et rerentre dans la chasse privée. La chienne a bien donné sur les pieds même si elle était perturbée que je ne l'ai pas lâché sur ce sanglier.
Par contre, mention spécial au agriculteurs qui se plaignent des dégâts dans les maïs. Nous parquons sur la chasse tous les maïs, au dernier maïs visité, le paysan a roulé avec le tracteur sur les fils sans prendre la peine de les déposer et reposer. les fils sont cassés, enfin on se demande s'il cherche pas à avoir les indemnisations, en tout cas c'est une honte.
Dimanche, j'ai suivi une bonne bande mais les pluies de la nuit ont rendu le voie délicate. Les pieds sont lavés, mais la chienne les suit quand même elle donne peu mais doucement on y arrive pour finir dans la chasse privée où la voie devenait bonne.
Vivement la Corrèze, pour faire un peu de rapproché!