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Message Publié : 31 Août 2013 12:19 
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Inscription : 10 Août 2009 15:19
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effectivement il est disponible,mais les miens ont les pattes plus longues....


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Message Publié : 03 Sep 2013 09:58 
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Inscription : 10 Août 2009 15:19
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voici le lien d un ferme sur sanglier artificiel lors de la fete de la chasse a saint elix le chateau:
http://www.grosfichiers.ch/component/gr ... r=download


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Message Publié : 03 Sep 2013 12:08 
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Inscription : 07 Mai 2009 10:30
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jolie video mrs bravo ;)

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Message Publié : 03 Sep 2013 13:27 
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Inscription : 12 Mars 2010 20:15
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Localisation : Gironde
Jolie vidéo!! :D

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Message Publié : 07 Sep 2013 13:01 
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Inscription : 31 Déc 2012 09:01
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http://www.youtube.com/watch?v=1JzoZAj5 ... r_embedded


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Message Publié : 10 Sep 2013 10:51 
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Inscription : 28 Août 2010 22:23
Message(s) : 275
Je partage une paire d'article que j'ai trouvé sur le net sur l'origine des fauves de Bretagne. Ce sont de vieux articles du Chasseur Français et plus précisément celui d'Avril 1947 et d'octobre 1948. La lecture de ces articles nous en apprennent pas mal sur les origines de ces races !

Voici sa couverture du numéro d'avril 1947 :
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Le premier article concernant les fauves :
Les chiens fauves de Bretagne

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Les notes qui suivent sont empruntées à la correspondance échangée, il y a plus de vingt ans, avec un veneur, alors nonagénaire et dernier témoin des chasses aux loups faites dans le Finistère par les compagnons du R. Davies. Beaucoup de lecteurs de cette revue connaissent l’ouvrage de ce grand chasseur de loutres d’outre-Manche, venu chez nous au milieu du dernier siècle. Il a été traduit par le comte R. de Beaumont, suscitant une curiosité qui s’est manifestée particulièrement vive au pays des descendants des veneurs pittoresques y décrits.

L’auteur n’a pas étudié avec beaucoup de précision le type des chiens qu’il avait sous les yeux. Nous savons seulement qu’ils étaient des griffons à poil rouge et fort endiablés sur les voies du loup et du sanglier, ce dernier alors assez rare, beaucoup de marcassins étant la proie de « messire leu ».

Voici ce qu’étaient, vers 1860, ces chiens fameux par leurs qualités, mais aussi leur mauvais caractère :

« En 1860, nous nous arrêtâmes à Morlaix voir les Saint-Prix, qui m’étaient un peu parents. Jean de Saint-Prix vint me montrer leur chenil. Je vis là une vingtaine de chiens poil dur et griffons fauves qu’il disait croisés de Saint-Hubert et incomparables dans la voie du loup, le seul animal que l’on chassait alors, et pour cause. Le sanglier et le chevreuil étaient rares, les loups se chargeaient d’en diminuer la production.

» Davies, parlant du même équipage vers 1854, dit que les chiens étaient bien à poil dur de 24 à 25 pouces et tricolores. Ils avaient été croisés de Poitevins, comme on le verra.

» En 1870, je retrouvai Saint-Prix au siège de Paris et, lui ayant demandé s’il avait toujours les chiens rouges croisés de Saint-Hubert, admirés chez lui en 1860, il me répondit :

» — Je m’en suis défait, ces chiens étaient intraitables et ne pouvaient servir que pour chasser le loup qui devient de plus en plus rare. J’ai vendu tous mes chiens au jeune M ..., qui débute, et les ai remplacés par des Griffons vendéens. »

Mon vénéré correspondant se montre très sceptique sur le croisement fait entre le Saint-Hubert et le chien fauve, bien qu’un de ses camarades de chasse, auteur d’un ouvrage sur la chasse au loup, assure en avoir fait grand usage. Écoutons-le :

« Mon ami l’a dit sans l’avoir pratiqué. Il se livra, dans son repaire de la forêt de X ..., à l’élevage du fauve croisé avec le Griffon vendéen. À cette époque, le nom de Saint-Hubert, étant donné la légende, sonnait mieux. Grâce à quoi, il écoula dans l’Ouest des masses de ses produits. Il était servi à souhait, car la couleur fauve des chiens qu’il avait achetés à M ... se maintenait avec une fixité étonnante. »

Disons, pour interrompre un moment ce récit, que ce croisement, recommandé par le comte Le Coulteux dans son Manuel de Vénerie, donna des produits plus sages, plus ameutables et aussi mieux bâtis. Il existe une gravure bien connue représentant un trio de ces chiens. Deux d’entre eux accusent en tête une forte influence de sang de Vendée.

Notre veneur continue ainsi :

« Mon vieil ami de M ... avait le cœur sur la main. Il ne vendait pas de chiens. Il en donnait à tout le monde, mais on s’en défiait, dans le pays, à cause de leur méchanceté. Il avait exposé à Paris, sous l’Empire, à une des premières expositions canines. Il avait obtenu un prix de consolation, disaient les mauvaises langues. Leur conformation défectueuse, le mélange de poil dur et de poil ras avaient nui à ces chiens près des grands veneurs présidant le jury à cette époque. Il est possible que ce soit à cette époque que Le Coulteux se soit procuré les chiens de M ... »

Interrompons encore le récit pour observer que le chien fauve très typé figurant dans la monographie générale du comte de Bylandt, provenant du chenil de M ... et du nom de Lourdaud, dut être photographié lors de cette exposition. Ainsi que l’observe mon correspondant dans une de ses lettres, la structure de Lourdaud est défectueuse dans son dessus et ses aplombs, et il ajoute : « Pour mon compte personnel, si j’avais eu à me monter en griffons, j’aurais préféré les chiens du croisement conservant la livrée des Vendéens et aurais éliminé tous les fauves de mon équipage. »

En voici les raisons :

« À la démonte de M ..., je me procurai deux chiens et deux chiennes. J’étais, à l’époque, louvetier de l’arrondissement et chassais deux fois la semaine dans la forêt qui me touche avec mes grands chiens Poitevins et avais l’occasion de chasser le loup. Les chiennes fauves suivaient correctement, mais les deux mâles s’y refusaient, abandonnaient la meute et chassaient pour leur compte. Ces deux chiennes chassaient très correctement et j’ai pris des louvards avec elles et mes Poitevins et c’est elles qui les mirent dans la voie du loup. Je conservai le plus beau des mâles, à cause de sa conformation ; mais rien n’avait d’influence sur lui. Après avoir lancé, il quittait la voie quand il était rejoint. Seul, il chassait correctement et avait beaucoup de nez. Il eût très bien fait l’affaire d’un braconnier. »

Puis un autre :

« J’ai vu les chiens de M ... chez moi. Ils étaient très méchants. C’était la terreur de du F ... quand M ... arrivait, escorté de ses vingt chiens. Découplés, ils se jetaient sur les autres et il y avait des batailles formidables. J’ai vu, lors d’une chasse au sanglier de F ..., défendre à M ... de découpler, ce qu’il admit. Mais le sanglier, ayant traversé la rivière, vint passer devant les chiens hardés qui cassèrent les couples. Au moment où les chiens de F ... sortirent de l’eau, la bataille commença et la chasse fut perdue.

» Mais j’ai chassé à P ..., chez M ..., avec ses chiens. Ils étaient réellement incomparables sur le loup et ne chassaient que cela, nourris exclusivement de viande de cheval crue. »

Avec un tel tempérament, on comprend que de tels chiens puissent faire merveille à la chasse au loup et au sanglier. Il aurait fallu les assagir par quelque alliance bien choisie, tout en leur conservant leur grand courage et leur mordant. À cela, on ne réussit pas pour deux motifs. L’essai des Anglo-Poitevins qu’on trouvait tout adaptés et qui, à l’essai, donnèrent satisfaction, fit renoncer à entreprendre une œuvre de longue haleine.

Mais surtout, continuait notre bon vieux veneur avec humilité : « La cause de ces changements de chiens, dans les cas que je vous ai cités, tenait uniquement à la dégénérescence. Ni moi, ni mes amis n’entendions rien à l’élevage. Aucun de nous ne connaissait les principes et l’art de la sélection et nous n’avions guère l’esprit de suite. Je m’en rends bien compte maintenant que je lis les auteurs ; mais il est trop tard ... » Il termine enfin en disant que les jalousies entre propriétaires et entre piqueux contribuaient à rendre difficiles les échanges en vue de parer aux inconvénients de la consanguinité.

Puis, en 1872, la strychnine fit sa première apparition importante. Rapidement, le nombre de loups décrut et, quoiqu’il y en eût encore jusqu’en 1886, les rangs en étaient de plus en plus clairs. Ce n’est guère que dix ans après qu’on vit le sanglier en nombre, le loup complètement disparu et les ultimes chiens fauves authentiques dispersés à jamais. Maintenant, ils ne sont plus qu’à l’état de médiocres Briquets, représentants dégénérés de ce chien au tempérament extraordinaire. Ainsi finissent les races, qu’avec un peu de persévérance et de savoir-faire on conserverait, après indispensables améliorations.

Plus habiles que nous, nos collègues du Nivernais ont, en ces dernières années, tiré d’un injuste et long abandon leur griffon à sombre livrée et de haute initiative aussi, courageux chasseur de sangliers et de loups s’il en restait. Il y a certaine affinité morale entre les deux races. Il semble même qu’il y ait eu quelques alliances. Quoi qu’il en soit, il faut souhaiter longue vie au Nivernais pour le plus grand bonheur des chasseurs à tir de sangliers, puisque notre Ouest n’a pas su conserver le gaillard un peu excessif dont le sort nous avait pourvus.

Pour nous consoler, il en est sorti un petit basset endiablé lui aussi ; mais que reste-t-il de lui, dont il a toujours été impossible de grouper les éleveurs ?

Ce chien fauve sèmerait-il l’individualisme dont il était saturé ?

R. DE KERMADEC.
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Le deuxième article tiré du Chasseur Français d'Ocobre 1948 :
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Le Briquet fauve de Bretagne

La Société canine bretonne entreprend une œuvre de longue haleine, sans doute hérissée de plus de difficultés que ne fut la réforme de l’épagneul breton au début de ce siècle. Nous partîmes en effet de l’avant avec un cheptel bien fourni et, quoi qu’on en ait dit, aussi homogène qu’on pouvait le souhaiter. Les difficultés que nous aurons à vaincre maintenant pour faire revivre un courant fauve (exactement un briquet fauve à poil dur) rappelant le grand chien fauve disparu sont autrement nombreuses. La matière première fait quelque peu défaut et, en outre, parmi les amateurs intéressés, ceux qui ont la chance d’avoir moins de soixante ans, aucun n’a vu les derniers représentants des fameux chiens à loups célébrés par le R. Davies, au mi-temps du siècle dernier. Aux premières années du présent siècle, il existait encore quelques équipages et nombre d’isolés. Pour ma part, j’ai pu admirer en Haute-Bretagne, en 1900, un lot de six à huit paires de fauves sous robe froment doré, que n’eussent pas désavoués les compagnons des Saint-Prix du Frétay et autres chasseurs de loups.

Leur propriétaire leur reconnaissait toutes les qualités éminentes de leur race et aussi le caractère entier et batailleur, cause principale de la désaffection dont ils ont été victimes. Tant qu’il y eut du loup on les conserva : leur grand courage devant ce carnassier si redouté des autres chiens en faisait de précieux auxiliaires. Le loup disparu, et même avant, on eut recours à des croisements pour les assagir, et je tiens d’un veneur breton mort presque centenaire, il y a une vingtaine d’années, que ce fut surtout le croisement avec le griffon vendéen, le seul vraiment pratiqué. Les traces de ce sang apparaissent nettement dans les têtes d’un certain nombre des briquets fauves qui nous ont été présentés.

Car ce qu’il demeure de la race n’est que briquets réputés pour leur qualité comme chasseurs de sangliers, ayant hérité du courage de la souche ancestrale, réputés aussi pour la finesse de leur nez comme chiens à lièvre. Il faut se rappeler que seuls les chiens bien doués sous ce rapport pouvaient prétendre au rôle de rapprocheurs de loups, dont la voie est légère, rapprocheurs dépêchants, car les traînards n’étaient pas là à leur place.

Nous allons donc travailler ce cheptel, puisque, moins heureux que nos collègues du Nivernais, nous n’avons pas la chance comme eux d’avoir conservé notre chien provincial sous ses deux formats, le grand fauve étant disparu.

Se souvenir que le fauve de Bretagne était un chien à poil dur, très peu broussailleux d’aspect, et qu’il en était de très authentiques presque à poil plat, avec un peu de poil dur aux lèvres et aux sourcils seulement. C’est au croisement vendéen qu’on dut le gros poil.

La tête de notre objet diffère considérablement de celle du vendéen, telle qu’elle était autrefois, plus courte et carrée que maintenant (chez le basset en particulier), avec une oreille plus plate et plus arrondie. Enfin le « stop » du fauve est beaucoup moins accusé que celui du chien de Vendée. Mieux que toute description, la reproduction dans le Chasseur Français de la gravure illustrant le présent article fixera l’opinion du lecteur. On trouvera la tête de même type dans un ouvrage datant de la fin du dernier siècle, dû à la plume de Pierre Mégnin. Enfin, dans la monographie générale de Bylandt, figurent, page 772, les chiens Lourdaud et Glaneur, de même modèle céphalique. Il ne peut y avoir le moindre doute, par conséquent, sur ce qu’il doit être.

Qu’il y ait affinités entre notre chien et le Nivernais, ce n’est pas douteux. Bien mieux, il y a eu alliances. Il y a longtemps, je voyais exposé aux Tuileries un lot de griffons bretons-nivernais, dont certains portaient la livrée froment doré du fauve de Bretagne. Lors d’une exposition tenue à Bourges cette année, j’ai perçu parmi les Nivernais de petite taille l’un ou l’autre fauve clair avec tête que nous ne désavouerions pas en Bretagne.

Surtout il ne faut pas s’indigner et pousser les hauts cris, si nous avons besoin de l’appui de nos confrères du Nivernais. Nous pouvons trouver dans cette province des éléments de retrempe qui apporteront de nouveaux courants de sang, sans modifier sensiblement l’extérieur de nos chiens et pas du tout les aptitudes. Du fait qu’il y a eu déjà croisement entre eux, il n’est rien de surprenant qu’il y ait des ressemblances. Alors, vu le petit nombre des éléments dont nous disposons, rien de plus légitime que d’utiles alliances.

Entre les deux guerres, nous avions encore un petit basset dérivé, vif, très allant, fin de nez, nullement entêté, qu’on trouvait en nombre. Il est inexplicable que l’élevage n’en ait pas été continué, car c’était un modèle tout spécial parmi nos bassets nationaux, par sa taille réduite et le train extraordinaire qu’il pouvait cependant développer.

Deux causes doivent être invoquées. Sa jolie robe l’a fait confondre trop souvent au fourré avec lièvre ou renard. D’autre part, certains éleveurs ont opéré des croisements avec le Teckel, d’où les oreilles plates, les têtes en poire et un moral complètement changé. Que ces croisés chassent lapins et autres bêtes aux voies fortes, rien d’étonnant ; mais, comme chiens à lièvre, ils n’ont pas les mêmes vertus. Pourra-t-on ressusciter au physique et au moral, tels qu’ils doivent être, nos petits bassicots ? Souhaitons-le, sans toutefois trop de présomption. Actuellement, tous les bassets un peu allants sont fortement concurrencés par le beagle de petite taille, qui est légion. Remonter un courant d’opinion est toujours malaisé ; enfin, il y a disproportion entre les effectifs engagés.

Pour tout dire, j’ai plus confiance dans un renouveau du briquet, d’autant qu’il semble être l’objet d’un vif intérêt de la part d’utilisateurs convaincus, désormais groupés en club. En avant donc pour la résurrection du briquet fauve de Bretagne.

R. de KERMADEC.
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"Très tôt le matin, pour échapper aux chiens, le lièvre se chausse de semelles de poussière"


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Message Publié : 11 Sep 2013 16:23 
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Inscription : 12 Mars 2010 20:15
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Localisation : Gironde
Merci alfab pour le partage, c'est toujours inintéressant de lire sur nos fauves!!
Sinon comment se passe ce début de saison pour les Fauves, Bassets et Griffons?
Partagez vos chasses...

Pour les miennes ouverture dimanche:
lachées des 6 fauves avec 2 grands vendéens, un briquet vendéen, un briquet de pays et 5 anglos de pays:
minuscule rapprocher de 300/500m avant un lancer d'une bête rousse menée 2h par les 15 chiens avec mes deux G et Etoile in-arrêtables!!
lors de ma sortie du carreau, un marais j'ai entendu des sangliers du coup on essaie de reprendre la voie et 2 minutes après relancé avec deux chasses: Hotesse et une vendéenne sur un 20kg qui font une jolie chasse d'une heure et le reste de la meute sur un 60kg poussé une heure et demie.

Le lundi, lacher sur un pied de la nuit, les chiens prennent direct et lancent après max 500m deux animaux:
5 anglos, Ecume et Hotesse sur un renard qui le meneront puis au bout de 4h seront rattrapées sur un sanglier dune 30aine de kg.
Les 2 vendéennes, le briquet de pays et les 4 fauves sur un sanglier de 60/70kg tiré 4 fois et loupé nous feront une magnifique chasse de 3h emmenée par Gamine et Gironde!

Aucun animal de prélevé mais deux supers jours où les chiens ont chassé comme un mois de décembre!! ;)

ET VOUS?????

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Message Publié : 11 Sep 2013 16:47 
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Inscription : 19 Juil 2011 16:18
Message(s) : 80
Localisation : Savoie
Bonjour,

Pour moi début de saison très mitigé. A titre tout a fait personnel, dimanche j'ai tué mon plus gros sanglier, 102kg devant une sympathique petite menée de 2 porcelaines et deux vendéens à des amis.
Par contre j'ai eu confirmation de ce que présentait à la fin de la saison dernière, mon fauve Gasper à peur des coup de feu :? a telle point qu'il coupe ses menées au premier coup de pétard :cry: :cry: ....autant dire que le moral à ce niveau là est bien bas pour le moment car déjà c'est mon seul chien à sanglier (mon ariegeois boudant ce gibier) et qu'il avait fait une très bonne première saison, participant aux rapprochés et avec une voie claire mais hyper abondante, rapide dans la voie il promettait d'être complet :cry: :cry:
Pour le moment je vais le sortir pour faire les pieds et j'essaye tous les jours les conseils donnés sur des postes du forum pour lui faire passer cette peur et après une bonne semaine à faire pas mal de bruit au moment de lui donner à manger je m'apperçois juste qu'il va falloir que je sois patient...et que je garde le moral!


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Message Publié : 11 Sep 2013 20:06 
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Inscription : 10 Août 2009 15:19
Message(s) : 483
tres bel article effectivement,c est toujours enrichissant d en savoir un peu plus sur la race qui nous est chère.
concernant le début de saison il se passe assez bien,en 5 sorties on n a pas lancé 2 fois,on a fait une chasse a mes yeux trés moyenne et 2 trés belles chasses,avec malheureusement déjà 3 chiens a l infirmerie mais heureusement sans gravité. (et moi aussi je me suis fait mordre,je réfléchi a l aquisition d un épieu car parfois la dague peut etre trop courte,la preuve)


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Message Publié : 24 Sep 2013 18:30 
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Inscription : 11 Mars 2009 21:45
Message(s) : 44
je recherche un ou deux griffon fauve de bretagne , chiens pret a chasser le sanglier, si quelqu'un a une piste contacter moi en mp


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