Bonjour Tous les jours, on nous colle au moins un nouveau sondage sur la chasse. Et bien souvent, on n'en connaît pas le résultat final, car il faut répondre à un autre. Cependant, la tendance est quasi systématiquement en notre défaveur.
Il y a une différence notable entre les pro et les anti chasse. Les chasseurs aiment ... la chasse. La chasse et tout ce qui va avec. Ils préfèrent donc s'occuper de leurs chiens, de leur territoire, de l'organisation de la prochaine saison, et tout ce pourquoi ils aiment la chasse, plutot que de guetter sur internet le prochain sondage qu'ils considèrent comme des mouches à m... qui viendraient se poser sur le jambon de sanglier prévu pour le casse croute. On s'en occupe de temps en temps mais on ne peut pas être tout le temps après.
Le but des antis est d'interdire la chasse. C'est la finalité principale. C'est leur chasse à eux. Tous leurs efforts sont donc déployés pour atteindre l'objectif. Et comme souvent on peut répondre plusieurs fois, en connaissant qq "trucs", les sondages penchent rapidement en leur faveur. Il y a même des associations qui ont des gens dédiés pour surveiller et agir sur le net. Tu as une adresse mail, tu réponds une fois. Tu crées 100 adresses, tu réponds 100 fois... Si c'est l'adresse IP qui compte, nos amis ont aussi trouvé des solutions...
Pourquoi ne fait-on pas la même chose ? Bah oui......, pourquoi ? Je parle de dédier des gens pour s'occuper des sondages. A partir du moment où on a acté que ces sondages sont bidons mais qu'ils ne servent qu'à influencer le public, utilisons les mêmes méthodes que les activistes sur-représentés. Il n'y a pas de scrupules à avoir.
Car il faut bien se dire que la grande majorité des gens se fout de la chasse. Mais si on leur pose la question, ils sont "plutôt contre" parce que les sondages semblent montrer que c'est "mal". Quand on n'a pas d'avis, on suit le troupeau. Béééhhhhhhhh.
_________________ La justice de l'intelligence est la sagesse. Le sage n'est pas celui qui sait beaucoup de choses, mais celui qui voit leur juste mesure. Platon
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