Nouvelle question de la fin de saison, l'incertitude de la réussite du forlonger.

Il nous arrive quelques rares fois de chasser en forlonger pour plusieurs raisons (sangliers qui bouge au pied, relacher sur animal blessé, etc). Chez nous, on a tendance à dire sanglier vu, sanglier foutu.
Je ne m'explique pas la différence de facilité d'une fois sur l'autre à reprendre un forlonger avec les mêmes chiens (considérons au bout de 2h). Certaines fois, les chiens partent comme en menée, plein tube et relance sans difficulté, tandis que d'autres, ils peinent à reconnaître la voie, et le lancer est plus qu'aléatoire. Ces mêmes chiens, le même jour vont être capables de prendre un pied de milieu de nuit sans trop de problème.

Exemple ce weekend, on relâche sur un animal blessé 2h après (petite blessure de patte, plus de sang après quelques centaines de mètres), grosses difficultés à reprendre alors que les pieds de la nuit ont été travaillés sans souci.

Merci pour la leçon chef. Vu le taux de réussite des UNUCR chez nous, même en changeant de conducteur à savoir 0% sur 10 recherches. Nous nous en sortons pas si mal en comparaison. C'était une balle de patte sur un sanglier de 30 kilos, nul doute qu'il va tuer des chiens.

Pour revenir au sujet, je parlais du forlonger en général et pas que sur animal blessé, c'était un exemple.
Quand je discute avec les chasseurs des équipes voisines, certains "pas mal équipés", ils font le même constat qu'un forlonger (sur animal sain) est parfois difficile alors que le pied de nuit déroule. Vues le peu de réponses, nous sommes apparemment les seuls...