C'est sûr, ils arrivent d'Algérie à la nage, non ?
Quelques incendies qui les décantonnent d'une commune sur l'autre, mais surtout rien à manger en altitude, ni glands ni faines et ils descendent sur les rares champs de maïs et les nombreux agrainoirs.
Alors je veux bien qu'on appelle "migration" le fait de descendre 100 ou 200m de dénivelé...
Il n'y a qu'à voir ce qu'ils ont dans le ventre : des pommes, du maïs en plaine, de l'herbe jaune dès qu'on les tue en altitude.