Je viens de lire en travers et sans aprofondir le sujet je vais vous dire :
Personnelement de la campagne ,à l'époque quand je tuais un lapin ma maman pensait un repas quand je tuais un lièvre elle pensait deux repas c'est dans ce contexte que j'ai appris à chasser .
Sorti du fond de ma cambrousse je ne connaissais pas chasser sans fusil au travers des concours et des brevets j'ai touché du doigt cette chasse ,d'abord ça m'a fait bizarre ,puis j'y ai pris goût et je n'ai pas l'impression aujourd'hui que mes chiens soient plus frustés voir moins bons ,suis je objectif peut être pas !
Pour la petite histoire ma maman m'a demandé samedi si je ne pourrai pas lui tuer un lièvre n'ayant pas vu la queue d'un depuis cinq ans elle aimerait bien me dit elle refaire quelques pâtés de lièvres dont elle avait je l'avoue le secret !
Et moi aujourd'hui le dilemn : reprendre le fusil non ,cette page est pour ma part tournée ,j'y préfère ma caméra , dire à un copain de m'en tuer un c'est peut être un peu faux cul ,en acheter un je ne sais même pas si ca se commercialise !
Ou peut être mon oncle de plus de 80 ans que j'ai converti au baton reprendra t-il le fusil pour un prélèvement !
D'autant plus que je chasse sur certains territoires où il y a du lièvre
A titre indicatif je comprend tout à fait le chasseur qui se tue au fusil un lièvre pour se faire un civet !